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Forum annexe officieux du jeu Les Royaumes Renaissants
 
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 [Dragon_noir] V.4. Les funérailles

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MessageSujet: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptyDim 9 Fév 2014 - 17:34

Les funérailles


Ce cours va vous apprendre à célébrer les funérailles, chose peu agréable à réaliser mais importante à maîtriser.
Il a été rédigé par monseigneur Uterpendragon, ce qui explique que sa présentation est différente des autres cours.

[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Sp1n



I - Informations


Le sacrement des Funérailles consiste principalement à rendre un ultime hommage au décédé, et ensevelir son corps. Tout être humain étant essentiellement composé d'eau et de terre est naturellement attiré par le centre de la Terre. Ceci ne le fera pas rejoindre le paradis, car seule l'âme s'élèvera et rejoindra soit les Enfers Lunaires, soit le Paradis Solaire, mais là n'est pas la question, car seul Dieu nous jugera à l'heure de notre mort, comme il est dit dans le credo.


    A) Au point de vue Canonique


  • Tout d'abord, afin d'éviter les bourdes, il faut savoir que seul un fidèle ou bien croyant peut recevoir ce sacrement. Les morts par suicide, ou bien les hétérodoxes, schismatiques et caetera ne peuvent pas être enterrés selon le rite aristotélicien. De plus, il est fortement conseillé d'attendre l'éradication avant de procéder à l'office.



  • Ensuite, tout clerc peut être habilité à donner ce sacrement, qu'il soit diacre, curé, évêque ou encore pape. Il se doit juste de respecter ce qui est donné comme le rite modèle pour ce sacrement et demander l'autorisation à l'évêque du diocèse où aura lieu la cérémonie. De plus, en cas de décès d'un évêque, c'est l'assemblée épiscopale qui donne son accord, et la curie pour un cardinal.



  • Quelques précisions, tout d'abord, dès enterré, si la personne réapparaît, ceci ne serait autre chose qu'un subterfuge, une mauvaise blague à laquelle il ne vaut mieux pas se mêler et prévenir illico presto la congrégation de la Sainte Inquisition ou bien votre supérieur direct. De plus, en cas de mariage, les funérailles mettent fin à l'union qui permet un remariage après un deuil - qui est préférable à une nouvelle union juste après le décès-.


    B) Au point de vue Dogmatique


  • Comme dit précédemment, tout être humain constitué d'eau et de terre est irrévocablement attiré par le centre de la Terre. Les funérailles comblent cet attraction. L'esprit - ou âme - revêt après son jugement un nouveau corps à l'image de la vie qu'il a eu, comme nous le savons bien. ( Pour plus de précisions, relisez votre cours sur l'Eclipse )


  • De nombreux points, au cours de l'office, rappelleront immanquablement le rite aristotélicien, tel que l'eau projetée dans la tombe, sur le cercueil est en rapport avec celle du baptême. Libre à vous de réfléchir à propos de cela, y associant des parcelles de vie d'un Aristotélicien.



II - Cérémonie type



    1. ARRIVEE A L'EGLISE
A ce moment là, le cercueil est amené devant l'autel, le prêtre se trouve sur le parvis et psalmodie :

Citation :
Le prêtre :Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Le prêtre
: Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Le prêtre : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Le prêtre : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.


Tous : Amen


    2. LES QUATRE SIGNES

Après être entré dans l'église, le cercueil est déposé devant l'autel, on peut déposer des fleurs et des cierges autour, une petite corbeille est laissée à l'entrée afin de recueillir les dons pour les mendiants.
Après un court accueil, l'officiant procède aux quatre signes, qui sont :


    Le signe de la lumière


Les cierges autour du cercueil sont allumés en silence


Le prêtre : "L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de < Nom du défunt > qui le/la conduit maintenant au Royaume de Dieu !"



    Le signe de la foi


Le prêtre
: "< Nom du défunt >, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et le Christ, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle".



    Le signe des amis


L’un des amis du défunt apporte la corbeille de l’amitié

Le prêtre
: "< Nom du défunt >,nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".


    Le signe de la mémoire


Ici, vous pouvez vous-même rédiger votre propre déclaration, mais inspirez vous de ceci :

Prêtre : "Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :
- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un homme/d'une femme qui avait une histoire, unique, avec Dieu. Qui était entouré de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette chapelle, autour de < Nom du défunt >, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère/sœur et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il le reçoive en son Paradis.




    3. LECTURE

Ici, un ami ou bien l'officiant lit un texte en rapport avec la mort et ce qui s'en suit. Evitez de prendre un vieux texte qui plombe le moral, pensez aux proches. Ceux que je saurais vous conseiller seraient par exemple quelques parties de L'Eclipse, à propos du paradis, ou bien encore de La Fin des Temps, partie IV, à propos du jugement, bien que celui-ci soit nettement moins joyeux. Si vous préférez un texte à propos de vies exemplaires, prenez par exemple le passage d'une hagiographie et poursuivez avec un court sermon à propos de la vertu et de la Foi, qui mènent au Paradis Solaire.



    4. INTERVENTION DE CEUX LE DESIRANT

Ici, les amis du défunt peuvent parler de lui, dire ce qu'il a fait, ce qu'il a été, ses qualités... Ou n'importe quoi d'autre, du moment que cela reste respectueux de l'Eglise et d'autrui. Pensez bien à organiser l'office auparavant, afin de ne pas se retrouver sans personne évoquant le concerné...




    5. LE SIGNE D'ADIEU

Juste avant de quitter l'église en direction du cimetière, un léger recueillement est conseillé, ainsi qu'une courte prière. Vous pouvez prendre ceci comme modèle :


Le prêtre
: "Avant de quitter la chapelle, nous allons dire un dernier adieu à notre frère/sœur < Nom du défunt >

Avec respect et affection, confions-le/la à Dieu dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui
*.


[UN INSTANT DE SILENCE]



Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur,

avec l'immense cortège des saints, nous souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.
"

* : Dans ce cas là, Dieu.



    6. DEPOSITION AU CIMETIERE

Après que le cercueil ait été fermé, le cortège arrive au cimetière, tandis que les présents forment un cercle autour de la tombe.

Prêtre : "Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère/soeur dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous. car nous espérons le/la revoir quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec < Nom du défunt >, à ce qu'il/elle est pour nous, à ce qu'il/elle est pour Dieu."


Silence pendant la descente du cercueil
Ensuite, le prêtre asperge le cercueil d'eau bénite et dit :

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"


Enfin, chacun passe et jette une poignée de terre dans la tombe, puis chacun s'en va tandis que l'officiant présente ses condoléances à la famille et aux proches.

N'oubliez pas de reverser les dons faits ce jour là si vous profitez d'une messe In Greatibus, ne gardant que le strict minimum pour l'office (Achat du pain et du vin).


[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Sp1n

III - Exercice

Vous célébrerez les funérailles d'une personne type connue dans son village en respectant le modèle donné. Utilisez quelques images, mais pas trop non plus, afin d'égailler la cérémonie.


Vous êtes à sec d'idées? Allez donc voir à la Biblihomélie !

Et en lecture supplémentaire, vous pouvez jeter un coup d’œil à L'intégralité du Droit Canon à ce propos.
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptyDim 9 Fév 2014 - 17:34

« - Courage mon frère, il s'agit du dernier cours ! Vous y êtes presque. »
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptySam 15 Fév 2014 - 11:53

Dragon_noir avez préparer l'église pour une triste cérémonie, un membres de sa paroisse venez de mourir de vieillesse, toute sa famille et ces proche, était déjà présent devant l'église, il sortie du presbytère, et se dirigea vers la porte de l'église et l’ouvris en grand, il regarda toutes les personne déjà présente pour trouver la défunte femme de messire Jean, quant il eu trouver, il se dirigea vers elle et lui.

Dame je suis de tout cœur avec vous en ce triste jours.

Il détourna la tête pour regarder le cercueil qui était sur porter par 6 braves hommes ami(es) du défunt.

L'évêque leva la voix en regardant l'assemblée.


Il et temps maintenant de faire entrée la feu messire Jean et de le déposer devant l'autel.

L'évêque toujours sur le parvis de l'église, regarda toutes la familles et amie de messire jean et psalmodie.

L'évêque : Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

L'évêque :
Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

L'évêque : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

L'évêque  :
Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Tous : Amen

L'évêque regarda tous les fidèles et leurs dit.

Je vous invites tous prendre places dans l'église.

L'évêque remonta l'allée central, le cercueil avait déjà était déposer devant l'autel des membres de sa famille déposa alors de superbe bouquet de fleur sur et a coter du cercueil, la femme du défunt avait déposé une petite corbeille à l'entrée afin de recueillir les dons pour les mendiants.
Il attendit que tout le monde prie place pour commencer la cérémonie.


[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Bienve10

Nous allons commencer la cérémonie j'invite les proches de messire Jean à venir en silence allumer les cierges présent autour du cercueil du défunt.

La femme les frère et sœurs du défunts se dirigea vers l'autel sans un bruits allumères les cierges avant de repris leurs places.

[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Cierges


L'évêque repris la parole : L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Messire jean qui le conduit maintenant au Royaume de Dieu !


Dragon_noir baissa la tête et repris sa respiration pour continuer.

Messire Jean, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et le Christ, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.


[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Croixcyan2rt

L’évêque regarda la femme du défunt et lui dit.    

Dame Louise veuillez apporter la corbeille de l’amitié.

Celle-ci alla la chercher et remonta l'allée centrale en silence et se plaça a coter de l'évêque.

dragon_noir lui dit alors.

Messire Jean, nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".

[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Corbeille-de-fruits-farandole

Dragon_noir pris une voix grave pour continuer la cérémonie.

Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :
- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un homme qui avait une histoire, unique, avec Dieu. Qui était entouré de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette chapelle, autour de Messire Jean, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni à Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il le reçoive en son Paradis.


J'invite un ami du défunt a venir lire un texte qu'il à écrit spécialement pour ce triste jours en hommage à Messire Jean.

Le frère du défunt se leva et regarda l'assemblée et dit.

Les dernières volontés de feue Messire Jean, était que je vous lise les sages paroles du Livre Saint.

Il l'ouvrit à la page concernée et commença lecture du texte :

Citation :
La foudre s’abattit tout près de là. Terrorisés, les enfants se blottirent encore plus dans les bras de leurs mères. Celles-ci pleuraient, implorant pitié au Très Haut. Les hommes s’invectivaient, s’attribuant l’un à l’autre la responsabilité des événements. Cela faisait six jours que les éléments se déchaînaient sur la ville d’Oanylone, avec la rage des premiers temps du monde. Un ciel noir d’encre, lourd de menaces, pesait de tout son poids sur la ville maudite. Parmi le petit groupe qui s’était réfugié dans la réserve de blé, depuis longtemps vidée, la peur côtoyait la colère, la fureur et le désespoir. On pouvait voir un homme qui avait cessé de rire de Dieu lorsque Celui-ci avait annoncé la destruction de la ville. Et cette femme ressassait sans cesse, avec honte, ses orgies luxurieuses avec tant d’hommes et de femmes qu’elle n’était pas arrivée à les compter. Ou encore ce jeune homme, qui avait prit le plaisir immonde de fracasser le crâne de son petit frère, et qui, maintenant, tentait de se racheter en rassurant les enfants rassemblés dans la minuscule pièce. Tous savaient pourquoi ils étaient punis, mais aucun n’osait l’avouer, certains cherchant même à en rejeter la faute sur les autres, dans l’espoir vain de faire oublier ses propres péchés.

   Une bourrasque terrible vînt enfoncer la porte, emplissant le frêle bâtiment d’un vent glacial. Ses fondations tremblèrent lorsque le tonnerre répondit à l’éclair, d’une puissance assourdissante. Et le silence se fit. Certes, la tornade rugissait et le tonnerre grondait, mais cela faisait déjà six jours que les habitants d’Oanylone ne connaissait plus que ça. Non, le silence n’était pas celui de la nature, mais bel et bien celui des humains. Car les réfugiés s’étaient tus, paralysés par la terreur, en voyant l’ombre qui se découpait dans l’encablure de la porte. Un homme, si grand et si massif qu’il devait se courber et resserrer les épaules pour entrer, s’approcha d’eux. La pénombre laissait deviner son visage rugueux et sa barbe drue. Sa volumineuse chevelure argentée lui donnait un air de sagesse, contrastant avec la largeur de ses mains, qui semblaient être capable de réduire en poussière même la plus dure des pierres. Son regard bleu pâle, usé par le temps, semblait tout de même garder au fond de lui une joie enfantine. Le colosse était habillé d’une chemise rapiécée et usée par les affres du temps. Un grand morceau de toile, enroulé autour de ses jambes, témoignait de sa condition de défavorisé. Il laissa apparaître un léger sourire et tous les réfugiés soupirèrent de soulagement. Puis il laissa entendre sa voix caverneuse:

   “Quand il n’y a plus d’espoir, il reste toujours l’amitié.”
   Alors, une vielle femme, au regard dur, à la volonté de fer, s’avança vers lui et lui demanda:
   “Et toi, l’étranger, es-tu venu en ami? Car il est en cette cité des hommes et des femmes dont la parole est de miel mais dont les actes sont comme le venin. Ils vivent sur des montagnes d’or, et ne désirent rien d’autres que de s’élever encore plus dans leur fol quête de butins. La vie de leurs semblables leur importe peu, tant leur soif de trésors les dévore.”
   “Je sais”, répondit l’homme. “C’est pour cela que je viens à vous. La richesse du coeur ne peut être égalée par les richesses de ce bas-monde. Emporteront-ils leurs montagnes d’or dans l’autre vie?”
   “Non, certes pas”, lui répondit la vielle dame. “Mais les richesses du monde nous sont-elles à jamais interdites? Devons-nous nous réduire à vivre tels des animaux pour honorer la richesse de l’âme?”
   “La vie vous a-t-elle appris à renier votre main gauche pour employer la droite?”, demanda l’homme. “Il en est de même pour les trésors que Dieu a créés pour nous. Que les richesses matérielles soient vôtres, car Dieu, par amour pour Ses enfants, nous en a fait don. Mais n’oublions jamais qu’il n’est pas de plus beau trésor que l’amitié.”

   Alors, un jeune homme se dressa et lui demanda: “Mais qui es-tu, toi dont les paroles sont emplies de sagesse?”
   “Mon nom est Georges”, répondit-il.

Le frère du défunt aimait beaucoup ce texte pour plusieurs raisons. Tout d'abord parce qu'il était un passage de la vie de Georges et que cela lui rappelait son fils mort lui aussi quelque années auparavant. L'homme ferma son livre dans un claquement sonore qui fut amplifié par l'église silencieuse.

L'évêque repris la parole et invita ceux qui le désirez a s'exprimer et à dire ceux qu'il ressentez pour le défunt.

Sa femme se leva et sortie  un parchemin de sa poche, les larmes au yeux elle dit.

Aujourd'hui c'est un triste jours pour moi, mon époux, nous a quitter, il laisse des enfants des petits enfants, des frères des sœurs dans le chagrins, mais il n'aurait pas aimer que ce jours soit remplie de tristesse, il aurait préférer que je vous parle de se qu'il avait était, un si bon père, un bon travailleur, jamais il c'est plein tout au long de sa vie, il a fit tellement de chose pour sa ville, il a aider ces prochain, il a toujours était à l'écoute des autres, et il a toujours ouvert sa porte à ceux qui n'avait rien a manger, l'homme qui nous quitte aujourd'hui, et pour moi un homme remplie d'amour, jamais je ne l’oublierais, beaucoup sont venue aujourd'hui pour lui, pour tous le bien qu'il à fait, et je veux que tout le monde sache que m'a porte sera toujours ouverte pour les plus démunis en sa mémoire, mes enfants et moi nous désirons vous dire, qu'un grand homme nous a quitter, il n'était pourtant pas riche, pas un seigneur, il était qu'un simple bucheron, mais toutes sa vie il la donner aux autres, alors aujourd'hui, je vous demande de faire une prière pour lui en silence, en souvenir d'un époux, d'un père, d'un frère, d'un amis, prier pour lui.

Sa femme se retira les larmes au yeux, et elle se mis a genoux pour prier devant sont cercueil, toutes l'assembles pria aussi en silence, l'évêque avait était émus par le discours de cette femme qui avait perdus son époux, et qui pourtant avait si bien décrit l'homme avec qui elle avait partager toutes sa vie, un homme simple, mais qui avait tend donner aux autres.
L'évêque attendu quelque minutes puis repris.


Nous allons maintenant dire adieu à Messire jean, avant qu'il ne regagne le cimetière, je vous invites tous a réciter un credo pour sa mémoire.

[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Credo510

Dragon_noir : "Avant de quitter l'église, nous allons dire un dernier adieu à notre frère Messire Jean.

Avec respect et affection, confions-le à Dieu dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui*.


Puis l'évêque demanda à tous ces fidèles un moment de silence, puis il dit.

Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur,
avec l'immense cortège des saints, nous souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.


L'évêque ferma alors le cercueil avec précaution, et demanda alors.

J'invite les amies du défunt a porter son cercueil jusqu'au cimetière.

Le cortège quitta l'église et se dirigea vers le cimetière, non loing de l'église, une fois arriver au cimetière
le cortège entoura la tombe.


Dragon_noir prie place devant le cercueil et dit : Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous. car nous espérons le revoir quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec Messire Jean, à ce qu'il est pour nous, à ce qu'il est pour Dieu.


Le silence régna pendant la descente du cercueil.

Dragon_noir aspergea le cercueil d'eau bénite et dit :

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"


Chacun passa devant le cercueil et jeta une poignée de terre dans la tombe, puis seul la famille proche resta prêt de la tombe.

L'évêque présenta ses condoléances à la famille et aux proches.


[Dragon_noir] V.4. Les funérailles Croix_12

La cérémonie venait de s'achever et Dragon_noir laissa la place à ceux et celles qui désiraient jeter une poignée de terre, une fleur ou un souvenir, avant qu'elle ne disparaisse à jamais, il se retira pour laisser la famille proche du défunt une dernière fois.
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptySam 15 Fév 2014 - 11:57

Je n'est jamais fait de cérémonie funéraire, donc jespere que avoir bien suivie toutes les étapes d'une cérémonie funéraire.
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptyDim 16 Fév 2014 - 20:31

« C'est excellent ! Cette cérémonie est très compliqué et vous vous en êtes sorti avec brio. Félicitations, vous avez terminé votre séminaire. Je vous contacterai très rapidement pour vous remettre votre diplôme ; en même temps que votre collègue monseigneur Saint-Juste je pense. »
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptyLun 17 Fév 2014 - 5:46

Merci beaucoup pour ce séminaire, sa m'a permit de réapprendre certaine chose que j'avais complétement oublier dans certain domaine.
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles EmptyVen 21 Fév 2014 - 23:27

« - Un plaisir d'avoir été le professeur d'un élève aussi appliqué ! »
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MessageSujet: Re: [Dragon_noir] V.4. Les funérailles   [Dragon_noir] V.4. Les funérailles Empty

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